30.11.12

Mbalam Convention Signed with Cameroon Government

Agreement paves way for Cameroon s first mine, rail and port iron ore project, while marking another milestone on path to completion of Hanlong deal Sundance Resources Limited (ASX: SDL) ( Sundance or the Company ) is pleased to advise that the Government of Cameroon has today officially paved the way for development of the Company s Mbalam Iron Ore Project by signing the Mbalam Convention.
 
The Convention also means that Sundance has taken another significant step towards completion of its Scheme Implementation Agreement with Hanlong Mining. The Convention, which was signed in a ceremony in the Cameroon capital of Yaounde, underpins the agreement between Sundance subsidiary Cam Iron SA and the Government outlining the fiscal and legal terms and the conditions to be satisfied by Cam Iron SA for the development and management of the Mbalam Iron Ore Project. The Convention, with a number of other conditions including endorsement by the Cameroon National Assembly, will lead to the Mining Permit and commencement of construction.



Cameroun : signature de la convention minière pour l'exploitation du minerai de fer de Mbalam

Une étape significative a été franchie dans l'exploitation du minerai de fer de Mbalam au Cameroun avec la signature jeudi soir à Yaoundé de la convention minière entre les autorités du pays et la compagnie Cam Iron, opérateur de ce projet censé produire 35 millions de tonnes par an, pendant 25 ans, pour un investissement global de 8,7 milliards USD.
La signature de cette convention après neuf ans de négociations récentes, selon le secrétaire général des services du Premier ministre camerounais, Louis Paul Motaze, marque le début de l'aboutissement d'un processus entamé en 2005 avec la délivrance à la société Cam Iron, filiale du groupe australien Sundance Resources Ltd, d'un permis de recherche renouvelé deux fois.
Localisé à Mbarga, localité de l'est du Cameroun proche de celle de Mbalam qui en est l'appellation officielle, le minerai en voie d'extraction couvre un spectre large s'étendant jusqu'à Nabeba, au nord du Congo-Brazzaville, ce qui en fait un projet transfrontalier, a rappelé le ministre des Mines, de l'Industrie et du Développement technologique, Emmanuel Bondé.

 
 

14.11.12

Cobalt, manganèse, nickel : Geovic tarde à lancer l'exploitation

(Investir au Cameroun) - En dépit d'un grand potentiel, les ressources camerounaises en termes de cobalt, nickel et manganèse sont encore inexploitées et même, pour certaines zones, encore inexplorées.
Depuis l'attribution du permis d'exploitation du cobalt, nickel et manganèse à la société américaine Geovic Cameroun PLG en 2003, l'exploitation de ces minerais n'a pas toujours commencé. Les réserves mises en évidence sur une partie du gisement sont de l'ordre de 100 millions de tonnes de minerai à 0,2% de cobalt, 0,72% de nickel et 3,71% de manganèse. La SNI (Société nationale d'investissement du Cameroun) détient 20% de parts d'actions de Geovic, 19,5% pour un groupe d'actionnaires camerounais et 0,5% pour William A. Bukovic, le président de Geovic Mining Corporation. La SNI et l'Etat du Cameroun y ont déjà investi environ 20 milliards de FCfa.


Le Cameroun veut être le premier producteur africain de bauxite

(Investir au Cameroun) - Selon le gouvernement camerounais, le potentiel bauxitique du Cameroun occupe le cinquième rang mondial.

Le pays fonde beaucoup d'espoir sur l'exploitation de la bauxite, notamment, la bauxite de Ngaoundal et de Minim Martap dans la région de l'Adamaoua. La société Hydromine inc qui a obtenu le permis d'exploration des deux gisements en 2005 l'a cédé à Cameroun Alumina Limited (CAL) en août 2009. Cameroon Alumina Limited est une co-entreprise de Dubaï Aluminium (45%) et de l'indienne Hindalco (45%), associées pour 10% à l'américaine Hydromine.


Fer : le Cameroun est bâti sur du solide

(Investir au Cameroun) - Trois grands gisements de fer sont en cours d’évaluation : Mbalam, Nkout et Kribi. On sait déjà que le potentiel de ces trois zones peut déjà faire du Cameroun un grand producteur de fer à l’échelle mondiale.
Selon les données publiées par l’entreprise australienne Sundance Ressources le 20 juin 2012, les gisements de Mbalam en hématite représentent 775.4 millions de tonnes avec 57,2% de fer. D’après l’entreprise, 95% de ce gisement est classé comme « indiqué » en conformité avec le code JORC (Joint Ore Reserves Committee), qui fait partie des normes internationales pour l'estimation et le ciblage les plus exacts d'un gisement.


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Cameroun : un sous-sol en or

(Investir au Cameroun) - Le Cameroun est un pays riche en or. Pour le moment, l’or n’est pas encore produit de manière industrielle, mais l’exploitation artisanale bat son plein.

Selon les estimations du Cadre d’appui et de promotion de l'artisanat minier (Capam), le Cameroun va produire de manière artisanale pendant la période 2010 - 2015, 16 653,3 Kg d’or. La production artisanale en 2012 est estimée à 224,8 kg.

Stimuler l’esprit d’entreprenariat
Au ministère en charge des Mines, l’on affirme que, dans le cadre du développement du secteur minier, le code minier prévoit des autorisations d’exploitation artisanale qui sont exclusives, au même titre que les autres titres miniers. Ceci dans le but de stimuler l’esprit d’entreprenariat de l’artisan et d’accroitre ses revenus. Pour le moment, seule C and K Mining dispose d’un permis d’exploitation industrielle de l’or. Elle n’a pas encore démarré la production. Mais, avec la mécanisation plus poussée de l’artisanat minier, de nombreuses sociétés commencent à s’y intéresser. Dans la seule localité de Bétaré-Oya, dans la région de l’Est, principale région productrice de l’or, huit sociétés sont sur le terrain. Plusieurs parmi elles déclarent en moyenne l’exploitation de 10 kg par mois, apprend-on du côté du Capam. 


Cameroun : un potentiel diamantifère brillant

(Investir au Cameroun) - Officiellement, la production artisanale de diamant alluvionnaire se situe autour de cinq millions de carats par an, alors qu’on évalue encore la quantité réelle du diamant conglomératique.
L’affaire a fait grand bruit dans le secteur minier. L’entreprise coréenne C and K Mining avait déclaré que le Cameroun disposait de la plus grande réserve mondiale de diamant (736 millions de carats). Des chiffres qui ont créé une polémique car les affirmations de C and K Mining n’étaient pas fondées sur des études sérieuses. Les autorités camerounaises elles-mêmes éprouvent des difficultés à dire quel est potentiel diamantifère réel du Cameroun. Mais, officiellement, on parle d’un potentiel de cinq millions de carats de diamants alluvionnaires et un potentiel de diamant conglomératique à déterminer. C’est pourquoi le pays a engagé des études pour déterminer son potentiel réel, notamment à Mobilong où un permis d’exploitation est attribué à C and K Mining, une joint-venture entre une société sud-coréenne et le gouvernement camerounais.


De l’or, du diamant, du fer et de la bauxite enterrés au Cameroun

(Investir au Cameroun) - A ce jour, le gouvernement camerounais veut exploiter ses ressources minières pour atteindre le statut de pays émergent en 2035, comme indiqué dans son document de stratégie pour la croissance et l’emploi (DSCE).

De 1960 à 1990, le gouvernement camerounais, en collaboration avec les instances de renommée internationale comme le Pnud et le Bureau de recherche géologiques et minières (Brgm), a mené des études pour retracer le potentiel minier camerounais. Les résultats de ces études, de même que les 167 permis de recherche déjà octroyés à ce jour, démontrent les richesses du sous-sol camerounais. Mais, les données minières jusqu’ici disponibles ne concernent que 50% du territoire national, d’après le ministère en charge des Mines. C’est dire qu’il y a encore d’énormes ressources minières à découvrir au Cameroun.


Cameroun : l’Etat va désormais empocher 30% de l’exploitation des ressources minières

(Investir au Cameroun) - En visite dans la région de l’Est, zone la plus riche du Cameroun en ressources minières, le ministre en charge des Mines, Emmanuel Bonde, de concert avec les exploitants miniers, a décidé de modifier la taxe que ces derniers doivent verser à l’Etat. Il a proposé à ceux qui s’engagent dans l’exploitation semi-industrielle des mines une nouvelle clé de répartition des ventes.

« Sur ce qu’ils vont exploiter, ils retiennent 60%. Ils paient 30% à l’Etat et les 10% qui restent sont repartis pour les bénéfices de la collectivité (municipalités, les riverains et tout ce qui est la responsabilité sociale). Nous devons dire que nous sommes contents que ces gens aient accepté. Parce que nous aurions pu aller loin : l’Etat est le propriétaire des ressources minières. (…) Cela a été accepté et nous allons rapidement le mettre en vigueur », explique le ministre à Cameroon Tribune ce lundi, 29 octobre 2012. 


Hanlong lève 1,460 milliard de dollars dans les banques chinoises pour le rachat de Sundance Ressources


(Investir au Cameroun) - La Cour fédérale australienne a approuvé ce 9 novembre 2012 la prochaine tenue, le 14 décembre 2012 à Perth, en Australie, du conseil d’administration de Sundance Ressources pour voter le contrat de cession de l’entreprise à Hanlong Africa Mining (Ltd) et ainsi finaliser le processus de vente de Sundance.
Tous les financements sont réunis par Hanlong. Après la China Development Bank le 22 octobre dernier, la China Everbright Bank Co., Ltd, la 14ème banque chinoise, a accordé 438 millions de dollars à Hanlong, engagée dans le processus d’acquisition de Sundance Ressources. L’entreprise australienne l’a annoncé le 5 novembre dernier sur son site web.


Petrofac investira 500 millions de dollars sur le permis Etinde



(Investir au Cameroun) - Bowleven a signé un accord d'alliance stratégique avec Petrofac qui s’engage à financer, jusqu’à 500 millions de dollars, l’investissement et le développement nécessaires à l’exploitation du permis Etinde. L’objectif est d’amorcer la production dès 2016.


Hydromine Inc. va construire deux centrales hydroélectriques au Cameroun

(Investir au Cameroun) - La société américaine Hydromine Inc. a signé vendredi dernier, 2 novembre 2012, avec le ministre de l’Energie et de l’Eau un mémorandum d’entente pour la construction de deux centrales hydroélectriques dans deux localités du pays : Grand Eweng (Sanaga) dans le Littoral et Mouséré (Mbakaou) dans l’Adamaoua.


300 milliards de pertes dues aux fraudes dans l’exploitation minière tous les ans


Josiane TCHAKOUNTE et Jocelyne NDOUYOU-MOULIOM

C’est l'avis d'experts du domaine qui se sont récemment penchés sur le sujet.


Les mines, tout comme le tourisme, sont deux secteurs dans lesquels la richesse et le potentiel naturels du Cameroun sont avérés. Pourtant, ils représentent des poids plume dans l’économie nationale. En effet, le secteur des mines -dont les recherches n’ont couvert que 40% du territoire national- contribue à moins de 1% au produit intérieur brut (Pib) du pays. C’est que l’exploitation minière, pendant longtemps, s’est déroulée dans des circuits informels. En effet, en ce qui concerne la mine solide, une intense activité d’exploitation d’or se fait dans les régions de l’Est, du Sud, de l’Adamaoua et du Nord à travers l’artisanat minier. Des chiffres fournis par le Cadre d’appui et de promotion de l’artisanat minier (Capam) font état d’une production d’or mensuelle canalisée de 200 kg, dont plus de 95% dans les circuits clandestins des trafiquants. Et de l’avis des experts, les pertes occasionnées par cette exploitation frauduleuse se chiffrent à 300 milliards de F par an. Toujours d’après le Capam, la contribution significative de la mine solide au budget de l’Etat (plus de 5 milliards de F) est attendue dans la période transitoire de six mois allant du 15 octobre 2012 au 15 avril 2013.



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Gold, Diamond, Mercury...: Damages of illegal exploitation

Surreptitiousness is the better word to describe what is happening to Cameroon’s riches underneath. This concerns particularly minerals such as gold, diamond, mercury among others. Statistics of what goes into the pockets of illegal exploiters are startling. Experts carelessly put the figure at FCFA 300 billion every year. This represents about 10.7 per cent of the 2012 State budget. This amount could have significantly saved the State from burning its fingers on the Treasury bond arrangement for the financing of the country’s projects.


Cameroun: Glencore découvre un nouveau puits de pétrole

(Agence Ecofin) – L’administrateur directeur général de la Société nationale des hydrocarbures (Snh), Adolphe Moudiki, et le directeur général de Glencore Exploration Cameroon Ltd, Alain Johnson, ont annoncé ce lundi la découverte d’hydrocarbures au forage en offshore du puits d’exploration Oak-1X, dans le bloc Bolongo du bassin de Rio del Rey.



3.11.12

Le Cameroun signe avec l’américaine Cedecorp pour la construction d’une raffinerie Le Cameroun signe avec l’américaine Cedecorp pour la construction d’une raffinerie


Le Cameroun signe avec l’américaine Cedecorp pour la construction d’une raffinerie

(Investir au Cameroun) - La firme américaine Cedecorp SA constuira à Kribi une unité de raffinage d’une capacité comprise entre 200 000 et 350 000 barils/jour.


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Cameroun : comme la SNH pour le pétrole, bientôt une nouvelle société pour gérer les ressources minières





Cameroun : comme la SNH pour le pétrole, bientôt une nouvelle société pour gérer les ressources minières

(Investir au Cameroun) - Au Cameroun, la Société nationale des hydrocarbures (SNH) gère pour le compte de l’Etat l’exploitation des ressources pétrolières. Mais, pour la gestion des ressources minières (mines solides), il n’existe pas encore de structure étatique. Le ministère en charge des Mines envisage de mettre sur pied une telle société.
Le ministre Emmanuel Bonde l’annoncé la semaine dernière à Bertoua au cours d’une visite dans la région de l’Est, la zone la plus riche du Cameroun en ressources minières. « Nous souhaitons que la mine solide soit également gérée par une structure qui fait à peu près le même travail que la SNH », affirme-t-il, en indiquant que la présence de l’Etat sur le terrain va davantage s’accentuer par la mise en place des brigades minières.








Cameroun : l’Etat va désormais empocher 30% de l’exploitation des ressources minières

  Cameroun : l’Etat va désormais empocher 30% de l’exploitation des ressources minières

(Investir au Cameroun) - En visite dans la région de l’Est, zone la plus riche du Cameroun en ressources minières, le ministre en charge des Mines, Emmanuel Bonde, de concert avec les exploitants miniers, a décidé de modifier la taxe que ces derniers doivent verser à l’Etat. Il a proposé à ceux qui s’engagent dans l’exploitation semi-industrielle des mines une nouvelle clé de répartition des ventes.
« Sur ce qu’ils vont exploiter, ils retiennent 60%. Ils paient 30% à l’Etat et les 10% qui restent sont repartis pour les bénéfices de la collectivité (municipalités, les riverains et tout ce qui est la responsabilité sociale). Nous devons dire que nous sommes contents que ces gens aient accepté. Parce que nous aurions pu aller loin : l’Etat est le propriétaire des ressources minières. (…) Cela a été accepté et nous allons rapidement le mettre en vigueur », explique le ministre à Cameroon Tribune ce lundi, 29 octobre 2012. 


17.10.12

Un nouveau Dg à Geovic Cameroon Plc

(Investir au Cameroun) - Barbara A. Filas est depuis le 6 septembre 2012 le nouveau directeur général par intérim de Geovic Cameroon Plc. Elle remplace Philip Russel Mason dont le contrat est arrivé à expiration le 5 septembre 2012, d’après un communiqué publié hier par le président du conseil d’administration de la société dans les colonnes dans Cameroon Tribune. Ce communiqué précise que « Mme Filas est par ailleurs membre du conseil d’administration de Geovic Cameroun SA et occupe le poste de présidente de Geovic Minin Corp, Colorado (USA) ». 



Vers la renégociation du droit de transit du pipe-line Tchad-Cameroun


APA-Douala(Cameroun) Le Cameroun souhaite la renégociation du droit de transit du pipe-line Tchad-Cameroun long de 1500 kilomètres dont environ 1200 km sur son territoire, a appris mardi APA de source officielle.
D’après le secrétariat permanent du Comité de pilotage et de suivi des pipelines (CPSP), une demande dans ce sens a été adressée à la Cameroon oil transportation company (COTCO), la firme chargée du transport du brut tchadien de son centre de production de Komé (Sud du Tchad), jusqu’au terminal pétrolier de Kribi dans le Sud du Cameroun.




Transparency on Mining to earn full EITI membership

YAOUNDE, Cameroon - (Dow Jones) - In its bid to gain full membership to the Extractive Industries Transparency Initiative, the Cameroon government has pledged to comply with the body's obligations, essentially more transparency in its mining and oil sectors, the country's minister of Finance, Essimi Menye told Dow Jones Newswires Wednesday. 
 
Since its affiliation to the Oslo-based mining watchdog in 2005, Cameroon has been confined to the status of observer, despite its hunt for full membership.
An EITI delegation visited Cameroon to encourage it to meet transparency requirements that can enable it be considered for full membership by the body's next meeting in June.


16.10.12

Cameroun, Affaire Scdp: Nguini Effa condamné à 30 ans d’emprisonnement

La décision a été rendue  par le tribunal de grande instance du Wouri (Cameroun) très tôt le samedi 13 octobre 2012 aux environs de 5h en présence de l’épouse de l’ex Dg de la Scdp et des autres membres de  sa famille. 
 
Trente ans  d’emprisonnement ferme. C’est la peine qui a été attribuée à l’ex directeur général de la  société camerounaise des dépôts pétroliers,(Scdp) Jean Baptiste  de la Salle Nguini Effa. Cette décision jugée « très dure » par les proches de Nguini Effa lui est tombée dessus comme un couperet. D’ailleurs l’ex Dg de la scdp s’en est offusqué. «On veut braquer des citoyens  camerounais en leur demandant de payer de l’argent qui se trouve à la Scdp. Des sommes qui sont en caisse. Comment vous pouvez acceptez de telle injustices et sur la base des documents ? », a déclaré Nguini Effa. 

Cameroun : découverte de 20 millions de barils de réserves de pétrole

Publié le 15 octobre 2012 à 12h30

(Xinhua) — En déclin ces dernières années, la production pétrolière camerounaise va bientôt enregistrer un rebond grâce à la découverte à Rio del Rey, dans le sud-ouest du Cameroun, d’un gisement estimé à 20 millions de barils de réserves récupérables par Addax, filiale du groupe chinois Sinopec, annonce la Société nationale des hydrocarbures (SNH, étatique).



Titulaire d’un permis d’exploration dénommé Padouk-1X, dans le blocIroko, bassin du Rio del Rey, Addax Petroleum Corporation " a rencontré des hydrocarbures dans six (06) réservoirs, dont 38,6 m TVD de hauteur nette d’huile et 65,1 m TVD de hauteur nette de gaz ", souligne un communiqué conjoint signé de l’administrateur directeur général de la SNH, Adolphe Moudiki, et du président-directeur général d’Addax, Yi Zhang.


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Cameroun : Découverte de nouveaux gisements pétroliers et gaziers

La Société nationale des hydrocarbures (SNH) et Addax Petroleum ont récemment annoncé la découverte de nouvelles réserves de 20 millions de barils de pétrole et 5,6 milliards de mètres cube de gaz. 



Cameroun: Hydrocarbures - La production pétrolière passe à 90 000 barils


Selon le directeur général de la Snh, ceci est le résultat de l'intensification de l'exploration et de l'ouverture de nouveaux puits.

Dans la recherche intensifiée des nouveaux gisements pétrolifères à laquelle s'est lancée la société nationale des hydrocarbures (Snh) depuis quelques années, l'entreprise vient de réaliser la découverte de nouveaux champs d'exploitation. Grâce à la compagnie Addax Petroleum, filiale du groupe chinois Sinopec, 20 millions de barils d'huile et 200 milliards de pieds cubes de gaz, soit environ 5,66 milliards de mètres cube, viennent d'être découverts dans la zone du Sud-ouest. D'après le directeur général de la Snh, Adolphe Moudiki, s'exprimant sur le site de cette société, ces récentes découvertes donnent l'opportunité au Cameroun d'augmenter sa production. «Cette découverte va favoriser une augmentation à long terme de la production, en lançant un important programme d'optimisation de la production dans les champs existants, mais également un programme ambitieux d'exploration et d'appréciation», précise Adolphe Moudiki.


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Le chef de l'ONU louange le Cameroun et le Nigeria pour le règlement de leur différend frontalier

New York (Xinhua) - Le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a louangé le Cameroun et le Nigeria pour leur engagement exemplaire dans le règlement pacifique de leur différend frontalier, a indiqué un porte-parole jeudi. 
Cette déclaration survient au moment où les deux pays marquent la dixième anniversaire de la décision de la Cour internationale de Justice (CIJ) concernant ce litige, qui avait provoqué des confrontations violentes pendant des décennies, jusqu'à ce que les deux voisins africains acceptent de se conformer au processus de l'ONU.

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Bakassi: Pourquoi le Nigeria n'a plus fait appel

Des raisons géopolitiques, mais surtout économiques ont pesé dans la décision des autorités d'Abuja.


Le gouvernement nigérian avait jusqu'au 10 octobre pour faire appel du jugement de la Cour internationale de justice (CIJ) octroyant la zone de Bakassi au Cameroun, comme l'y autorise l'article 61 des statuts de la CIJ. Cette dernière donne effectivement la possibilité aux parties, dans les affaires qu'elle tranche, de pouvoir introduire un recours de la décision qui leur est défavorable, si une nouvelle preuve, déterminante pour l'issue des débats et qui n'a pas été versée lors du procès, réapparaissait et était soumise dans les six mois, et dans les dix ans du prononcé de la décision de la Cour.


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Communiqué: Atelier de sensibilisation des entreprises extractives

PRESS RELEASE/COMMUNIQUE
Release N°000036/MINMDT/MINFI/COMITE ITIE OF O3 OCTO 2012 INVITING EXTRATIVES SECTOR COMPANIES TO AN AWARNESS WORKSHOP ON THE EXTRACTIVE INDUSTRIES TRANSPARENCY INITIATIVE IN PREPARATION FOR THE 2009 -2010 CONCILIATION
Yaounde, 11 October 2012


THE MINISTER OF MINES, INDUSTRY AND TECHNOLOGICAL DEVELOPMENT,
THE MINISTER OF FINANCE, CHARMAIN OF EITI COMMITTEE,
Wish to inform the general public and extractive companies that the recruitment process of the independent auditor for the reconciliation of financial flows and volumes related to the exploration and exploitation of hydrocarbons and solid mines for the fiscal years 2009 and 2010 will be completed very soon. The mission should therefore commence as soon as this is done.



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9.10.12

Cameroun-Nigéria: Vers un nouveau désaccord sur Bakassi?

Par Idriss Linge - 08/10/2012

Le président Goodluck Jonathan aurait accepté le principe de mettre en place un comité en vue d’examiner une possibilité de faire appel de la décision de la Cour Internationale de Justice


Selon de nombreux médias paraissant au Nigéria, le président Goodluck Jonathan à la tête du pays, aurait finalement accepté le principe d’une révision de la décision de la cour internationale de justice (CIJ) de 2002, à travers laquelle, la souveraineté sur la péninsule riche en pétrole de Bakassi, revenait au Cameroun. Selon le journal nigérian This Day qui rapporte l’information, l’exécutif de ce pays aurait été convaincu par de nouvelles preuves, qui n’avaient pas été versées au dossier lors de la bataille judiciaire qui à son époque couvrait  un affrontement militaire. Une décision qui selon la même source, intervient après que pendant des semaines, le Sénat Nigérian ait mis la pression sur le président Jonathan afin qu’il accepte que soit formulé un appel de la décision. Juridiquement, la démarche du Nigéria serait irréprochable.



Pétrole : Bowleven démarrera le projet Etinde en 2015

La société britannique a déclaré commencer la production de pétrole en 2015, soit deux ans plus tard qu'initialement prévu


Bowleven, société de production et d'exploitation de pétrole qui avait déclaré avoir trouvé un énorme gisement de pétrole au Cameroun, a repoussé la phase de production du projet pétrolier d'Edinde.



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Australie-Afrique: William Fisher dans les mines camerounaises



William Fischer envoyé spécial du PM Australien, Mme Julia Gillard, auprès des pays africains francophones africains, a été reçu mercredi, en mi-journée au palais de l'Unité, par le président Paul Biya à qui il a remis un pli fermé.Au terme de l'audience, William Fisher a dit combien il était important pour lui de rencontrer le chef de l'Etat camerounais dans le cadre de sa mission. Car, explique-t-il, Paul Biya est un grand chef d'Etat intéressant à consulter. L'entretien a permis, à cet égard, à l'envoyé spécial d'apprendre de son hôte, qu'en matière de coopération bilatérale, l'agriculture et les mines, constituent les priorités pour le Cameroun. L'Australie s'investit déjà au Cameroun dans la prospection des gisements de fer de Mbalam dans l'Est. Le maître d’œuvre de ce chantier étant la bien nommée Sundance Resources Ltd, en partenariat avec CamIron, une entreprise camerounaise. Legend Mining Ltd, une autre entreprise australienne est, elle aussi, engagée dans la recherche de ce minerai. En soulignant l'expertise de son pays dans le secteur minier - le sous-sol australien étant riche - William Fisher juge satisfaisantes les perspectives et les conditions d'investissement au Cameroun. Lesquelles augurent de jours bien meilleurs pour la poursuite de la coopération bilatérale dans le secteur minier. William Fisher déclare que le chef de l'Etat a également fait avec lui un tour d'horizon des problèmes d'actualité e Afrique et qu'il était important pour son pays de savoir quelles solutions les Africains proposent eux-mêmes à leurs problèmes. Au cours de l'audience d'hier, Paul Biya avait à ses côtés le ministre secrétaire général adjoint de la présidence Peter Agbor Tabi. William Fisher était, pour sa part, accompagné de Ian McConville, Haut commissaire d'Australie au Cameroun.


Fer de Mbalam: Des divergences surgissent entre le Cameroun et le Congo

DOUALA - 04 OCT. 2012
© Alain NOAH AWANA | Le Messager

Malgré la mise sur pied d’un comité inter-Etats, les deux pays semblent vouloir exploiter chacun de son côté ce gisement de fer. Pourtant, les experts estiment qu’ensemble, ils maximiseront l’exploitation qui devrait leur rapporter 50 000 milliards Fcfa en 20 ans.


Le ministre camerounais de l’Economie, de la planification et de l’aménagement du territoire (Minepat), Emmanuel Nganou Djoumessi, a conduit une délégation ministérielle au Congo du 24 au 27 septembre dernier. Le but de cette mission au cours de laquelle la délégation camerounaise a rencontré Denis Sassou Nguesso, président de la République du Congo, était d’engager avec les Congolais des discussions en vue de parvenir à un accord pour la mise en exploitation conjointe de leurs gisements de fer respectifs de Mbalam (pour le Cameroun) et de Nabeda (pour le Congo).


Le Cameroun signe avec l’américaine Cedecorp pour la construction d’une raffinerie

La firme américaine Cedecorp SA constuira à Kribi une unité de raffinage d’une capacité comprise entre 200 000 et 350 000 barils/jour.



Cameroun-Congo: Une coopération en acier

La mission conduite au Congo par Louis Paul Motaze, président du comité de pilotage du projet d'exploitation du fer de Mbalam a obtenu des autorités congolaises l'exploitation en synergie des gisements de fer des deux pays.Décidément, le projet d’exploitation concomitant des gisements de fer de Mbalam au Sud Est du Cameroun et de Nabeba au Nord du Congo Brazzaville se concrétise.
Du 24 au 27 septembre 2012, Louis Paul Motaze, le Secrétaire Général des Services du Premier Ministre et Président du Comité de Pilotage du Projet d’Exploitation du Fer de Mbalam, a conduit à Brazzaville (Congo), une délégation ministérielle comprenant Emmanuel Bondje Ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement Technologique, Robert Nkili, Ministre des Transports et S.E.M. H. Komidor Njimoluh, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Cameroun au Congo, avec pour mission de s’accorder avec les autorités de ce pays voisin, sur les modalités de mutualisation des moyens pour optimiser l’exploitation de ces gisements.


Le Cameroun va bientôt raffiner son propre pétrole

L’Etat camerounais et l’entreprise américaine Cedecorp SA viennent de conclure un accord en vue de la construction, dans la cité balnéaire de Kribi (Sud), d’une unité de raffinage de la production pétrolière locale. Ce projet, d’une durée de 30 mois et avec 5000 emplois nécessaires, sera entièrement financé par la Texas Firm Raffinery Technology INC. En phase de fonctionnement, la nouvelle unité devrait produire entre 200.000 et 350.000 barils de pétrole par jour. A travers sa filiale Cameroon Refinery Project, la firme américaine exploitera le site pendant une décennie avant sa rétrocession à l’Etat du Cameroun.


Processus de Kimberly: Les petits pas du secrétariat national permanent

Écrit par Lindovi Ndjio 



La jeune structure cherche ses repères alors que les défis s’annoncent à pas de géant.
Depuis le 14 août 2012, le Cameroun est membre du processus de Kimberley.
Une adhésion qui ne vient que d’ouvrir le pays au marché mondial officiel du diamant, même si le Secrétariat national permanent (Snp) du Processus de Kimberley existe depuis novembre 2011. Une ouverture qui induit des normes qui régissent le commerce mondial de diamant, qui s’opère essentiellement entre les pays du Processus. Et le Snp a du pain sur la planche car désormais, toute transaction de diamant est suivie.
A l’occasion d’une visite de travail organisée par le Réseau de lutte contre la faim (Relufa), au siège du Snp, il est apparu que le chemin parcouru par cette structure nationale sont presque à l’image de leur jeunesse d’une structure créée par décret du Premier ministre le 2 novembre 2011. «Nous sommes encore en cours de démarrage, mais nous pouvons déjà faire le minimum», rassure Adolphe Abenelang Abessolo, secrétaire national permanent adjoint. Logé au 5ème étage d’un immeuble Intek sis en plein centre ville de Yaoundé, le Snp est concentré dans près d’une dizaine de pièces modestes et exigües.

Le Cameroun et le Congo s’engagent pour l’exploitation commune du fer de Mbalam

Le Cameroun et le Congo s’engagent pour l’exploitation commune du fer de Mbalam 


(Investir au Cameroun) - Un comité inter-états pour la gestion commune de l'exploitation de deux gisements miniers, celui de Nabemba, au nord du Congo et celui de Mbalam, à la frontière entre les deux pays, a été mis sur pied, a annoncé vendredi le Ministère congolais des mines et de la géologie.
Après deux jours de concertations, « les deux parties se sont engagées à collaborer et à conjuguer leurs efforts pour lever tous les écueils qui pourraient retarder ou compromettre la réalisation de ce projet », souligne le communiqué.


26.6.12

L’exportation du diamant camerounais désormais codifié


 
(Investir au Cameroun) - Le ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique, Emmanuel Bondé a signé le 21 juin 2012 un arrêté précisant les modalités de commerce de diamant. Il y a précisé que «la commercialisation illicite du diamant brut est interdite sur toute l’étendue du territoire national».

D’après cet arrêté lu sur les ondes du Poste national de la CRTV le 21 juin dernier, il est mis sur pied un secrétariat national permanent et un bureau d’évaluation et d’expertise de diamants. Selon cet arrêté,  «l’importation, l’exportation, le transit et la commercialisation du diamant brut font l’objet d’une autorisation préalable du ministère chargé des Mines. De ce fait, l’importation et l’exploitation du diamant brut ne sont autorisées qu’avec les pays participants au processus et en conformité avec les principes et recommandation du système de certification dudit processus».


Le commerce des diamants réglementé


Un arrêté du ministre en charge des mines organise la filière au-delà de l’extraction. 


Le ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique a signé récemment un arrêté fixant les modalités d’exportation, d’importation et de commercialisation des diamants bruts au Cameroun. Le régime de ces trois activités autour des ressources diamantifères est celui de l’ « autorisation préalable » que délivre le ministre chargé des mines (alinéa 1 de l’article1). La commercialisation notamment « se fait dans les circuits formels prévus par la réglementation en vigueur ».

Pour garantir la réputation des diamants camerounais sur le marché international, l’arrêté prévoit que certaines transactions commerciales (importation et exploitation) « ne sont autorisées qu’avec les pays participants au processus de Kimberley et en conformité avec les principes et les recommandations du système de certification dudit processus ». Au-delà des règles de ce cadre spécial international, les acteurs du commerce des diamants devront également s’astreindre à respecter la législation nationale sur la vente des substances minérales, indique l’article 3.




ITIE : Le Cameroun se veut conforme

ITIE : Le Cameroun se veut conforme

Par Mathurin Petsoko - 21/06/2012

Sept ans déjà que le Cameroun a adhéré à l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE). En septembre 2007, il est accepté comme « pays candidat » et compte à présent accéder au statut de « pays conforme » avant le 13 août 2013. Après deux tentatives infructueuses d’accès au statut de « pays conforme », les autorités camerounaises entendent désormais mettre les bouchées doubles pour l’atteinte de cette autre sorte de « point d’achèvement ». c’est dans cette optique qu’a eu lieu un atelier de sensibilisation des parlementaires camerounais sur les enjeux de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE), organisé par le ministre des finances, Alamine Ousmane Mey, président du comité ITIE Cameroun, et présidé par le président de l’Assemblée Nationale du Cameroun Cavaye Yeguié Djibril. Il avait pour objectif de sensibiliser les députés sur les enjeux de l’ITIE pour le Cameroun afin qu’ils accompagnent le gouvernement dans la mise en œuvre de cette initiative.



Recettes pétrolières: Quand les chiffres font des écarts

Par Idriss Linge - 18/06/2012

156 milliards de FCFA de recettes versés au trésor public selon un communiqué du Conseil d’Administration, alors que les statistiques sur le site de la SNH parlent de 97,542 milliards


Dans un communiqué de son dernier Conseil d’Administration, la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), annonce que les recettes reversées à l’Etat pour le compte des 4 premiers mois d’exercice, se sont situées à 156 milliards de FCFA, dépassant largement des prévisions qui elles se situaient autour de 129 milliards de FCFA. De nombreux médias ont repris l’information, parlant notamment de la hausse des recettes pétrolières au trésor public camerounais. Le fait que ces médias n’hésitent pas à qualifier de bonne performance est argumenté par une appréciation du dollar de 14%, et une bonne tenue des prix des barils depuis le début d’année. Le prix moyen de vente de ces bruts, pour les enlèvements de janvier à avril, a enregistré une hausse de 15,10 dollars Us par baril (+14,31) par rapport à la même période de l’année précédente, pour s’établir à 120,63 dollars Us par baril, peut-on lire dans le communiqué de presse du Conseil d’Administration. Il reste pourtant très difficile de comprendre le niveau de positivité de cette performance. Comparé au premier trimestre de l’année 2011, où effectivement le prix du baril était à 105 Dollars (contre 120) pour un dollar à 477 contre 496 FCFA aujourd’hui, les recettes pétrolières reversées à l’Etat et selon des statistiques disponibles sur le site de la SNH, avaient atteint les 195 milliards de FCFA, pour le premier trimestre, le mois d’avril non compris. Cette statistique considérée, il apparait donc que pour les trois premiers mois de l’année 2012, la SNH a plutôt été contre performante, car elle reverse un total avec près 40 milliards de FCFA en moins, par rapport à la même période l’année dernière.


22.6.12

Yaounde: Cameroon says resolves Dangote plant dispute




© Tansa Musa | Reuters


Construction of Nigerian cement giant Dangote's $115 million new plant in the Cameroonian economic hub of Douala has restarted after land dispute was resolved, local officials said on Monday.

Work on the 1.5 million tonnes-a-year plant began last September and was due to last 18 months. But it was halted earlier this year after the ethnic Sawa people filed an injunction against the project, complaining it violated their sacred site on the banks of the Wouri River.

"Following instructions from the Presidency of the Republic, work has resumed at the Dangote cement factory," Joseph Beti Assomo, the governor of the Littoral Region under which Douala falls, told local state radio.



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21.6.12

Cameroon: They Reacted to the Laying of the Memve'ele Foundation Stone




La construction du barrage hydraulique de Memve'ele est d'abord un projet structurant. Il participe du programme des Grandes Réalisations de chef de l'Etat. Ce projet va permettre d'augmenter la production d'énergie au Cameroun d'a peu près 20 %. « Un soulagement

Dr. Basile Atangana Kouna, Ministre de L'Eau et de L'Énergie.
« La construction du barrage hydraulique de Memve'ele est d'abord un projet structurant. Il participe du programme des Grandes Réalisations de chef de l'Etat. Ce projet va permettre d'augmenter la production d'énergie au Cameroun d'a peu près 20 %. Il y a Lom-Pangar, Mekin et d'autres projets dans le secteur énergétique. C'est un soulagement pour nous quand on sait que dans 54 mois, on aura 201 mégawatts additionnel d'électricité. »


19.6.12

4,7 milliards de francs Cfa à investir à Bakassi

(Investir au Cameroun) - Les membres du comité de suivi de l’exécution des projets prioritaires de Bakassi ont tenu leur 14ème session le 15 juin dernier afin d’examiner les projets urgents à réaliser et les besoins financiers destinés à leur réalisation.

Selon le quotidien Cameroon Tribune qui rapporte l’information, les dix ministères présents, y compris la Délégation générale à la sureté nationale et le  Fonds spécial d'équipement et d'intervention intercommunal (Feicom), qui ont participé à cette rencontre ont estimé à 4,75 milliards de francs Cfa le montant des fonds nécessaires à la réalisation des projets retenus. Ils ont proposé au Premier ministre, chef du gouvernement, d’instruire le ministère des Finances de débloquer les fonds afin que les travaux s’achèvent avant juin 2013.

 
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Cameroun : Le poids des subventions du carburant

Écrit par legriot




carburantLes coûts de subventions du carburant deviennent de plus en plus insupportables pour le budget du Cameroun. Le poids de ces subventions sur les recettes de l’Etat est à tel enseigne que la Banque mondiale et le FMI exhortent le gouvernement camerounais à élaborer une politique de subvention du carburant plus ciblée. En effet en l’état actuel des choses, le Cameroun risque de voir son économie écroulée sous cette épée de Damoclès que représente désormais cette subvention.

Mines: Des trésors à exploiter

Le potentiel minier du Cameroun n’est pas aussi riche que celui de la RDC mais il n’en est pas très éloigné. La géologie du Cameroun, évoquée du 29 au 31 mai dernier à Yaoundé à la faveur du deuxième forum minier, est, en effet, favorable à la minéralisation des substances aussi précieuses que l’or, le diamant, le cobalt, le nickel, le manganèse, le fer, l’uranium, la bauxite, les hydrocarbures (pétrole, gaz naturel), le saphir, etc. Ces dernières années, la liste des prospects et indices dignes d’intérêt s’est même allongée. Le secteur minier camerounais n’a pas pour autant décollé. Selon les statistiques disponibles, environ 165 permis de recherche ont déjà été délivrés à plusieurs sociétés minières. En outre, un certain nombre d'opérateurs ont d’ores et déjà lancé des négociations pour la signature d’une convention minière afin d’obtenir un permis d’exploitation.



18.6.12

Paul Biya lance les travaux du barrage hydroélectrique de Memve’ele

Le président de la République du Cameroun, Paul Biya, a procédé ce vendredi, 15 juin 2012, au lancement officiel des travaux du barrage de Memve’ele dans la localité de Nyabizan, dans la région du Sud. Occasion pour Paul Biya de rappeler que malgré les délestages qu’il a toujours dénoncés, un bel horizon s’annonce avec la construction de ce barrage. «L’espoir apparaît enfin», a-t-il déclaré.

Ceci après avoir constaté que «la pénurie de l’électricité a eu pour conséquences de rendre insupportable la vie quotidienne d’une grande partie de notre population. Mais, les délestages, parfois prolongés, ont parfois pénalisé le fonctionnement de l’administration, des services sociaux tels que les hôpitaux et même les organismes de sécurité quand ils n’ont pas provoqué des pertes en vies humaines et des dégâts matériels. Certes, ces délestages de l’énergie électrique n’ont hélas pas disparus. Mais, l’espoir apparaît enfin».

Premier contrat pétrolier signé dans la zone de Bakassi


La Société nationale des hydrocarbures (SNH) a annoncé ce vendredi 15 juin 2012, la signature, la veille, du premier contrat pétrolier dans la zone de Bakassi. «L'administrateur directeur général de la Snh, Monsieur Adolphe Moudiki, et le directeur général résident de la société Dana Petroleum Cameroon Limited, opérateur du consortium Dana Petroleum Cameroon Limited / Madison Cameroon Oil & Gas Ltd / Softrock Oil & Gas Limited, Monsieur John William Downey, informent le public de la signature le 14 juin 2012 au siège social de la SNH à Yaoundé, d'un contrat de partage de production pour la recherche pétrolière dans le bloc Bakassi Ouest, situé dans le bassin du Rio del Rey, qui couvre une superficie totale de 387,53 kilomètres carrés», indique le communiqué conjoint publié dans la presse.
Le consortium s'est engagé à réaliser un programme d'activités de recherche dans cette zone pour une première période de quatre années. Le contrat prévoit l'acquisition, le traitement et l'interprétation de 250 km2 de données sismiques 2D, et le forage de deux puits d'exploration, dont un ferme et un optionnel. Selon ce communiqué, en fonction des résultats obtenus en première période, ce programme pourra s'étendre sur deux autres périodes supplémentaires de deux années chacune, au cours desquelles il est notamment prévu, l'acquisition et le traitement de 100 Km2 de sismique 2D et le forage d'au moins un puits d'exploration par période.

15.6.12

China's Hanlong clears Cameroon hurdle to $1.3 bln iron ore bid

MELBOURNE, June 5 (Reuters) - China's Hanlong Mining has cleared one of three key hurdles to its long-delayed $1.3 billion takeover of Australia's Sundance Resources, agreeing on key terms with Cameroon for developing the Mbalam iron ore project.

To go ahead with the Sundance bid, Hanlong also needs to secure approval from Australia's Foreign Investment Review Board by June 30, and line up funding from China Development Bank by August 31, which is seen as the biggest challenge.

Hanlong is targeting Sundance for its $4.7 billion Mbalam iron ore project on the border of Congo and Cameroon, a resource vital to helping China ease its dependence on Australia and Brazil for iron ore.
Despite China's desire tap new sources of iron ore in Africa, China Development Bank has so far failed to give its blessing to Hanlong's A$1.34 billion ($1.3 billion) bid, first announced last July.




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Industrie minière: Encore de nombreux défis

Par Idriss Linge

C’est la grande leçon qui peut être tirée à l’issue du deuxième forum minier du Cameroun ayant pris fin le 31 mai 2012 dernier


Même si ce n’est pas le discours officiel, le Cameroun semble s’engager dans le chemin de l’industrie minière en faisant face à de nombreux défis. Clôturant le deuxième forum minier organisé dans le pays, les participants ont retenu 21 résolutions, dont certaines en rapport avec le premier niveau de la chaine des valeurs des industries minières. L’évènement a permis finalement au secteur minier camerounais de mettre à jour le chemin qu’il y a encore à parcourir. A la tête de tous les défis, celui de mettre en place un cadre d’industrialisation minière qui puisse être durable. Une autre grande leçon apprise de ce deuxième forum aura été celui des difficultés à concilier investissements et développement durable. Dans son approche, le gouvernement n’a pas encore clairement défini un cadre légal unique de gestion de tels conflits. A l’heure actuelle, de nombreuses zones d’exploration minière chevauchent des aires protégées par exemple. Prenant la parole sur le sujet, le patron du centre pour l’environnement et le développement (CED), a remis sur la table des discussions la nécessité de suspendre l’attribution de nouveaux permis et de voir clair dans les différentes situations. «Nous ne disons pas qu’il faut bloquer le processus d’exploitation des mines, loin de nous cette idée. Ce que nous disons c’est que le processus d’identification des sources potentielles de conflit doit se faire en amont de l’attribution des titres miniers. Si tout le monde connait les risques cela ne posera pas problème puisque l’accord aura été total. Mais lorsque les uns découvrent les risques plus tard, chacun cherche la disposition contractuelle, légale ou réglementaire qui le protège, et c’est le début des problèmes avec son lot de positions tranchées», a expliqué Samuel NGUIFFO, le responsable de cette organisation.


Industrie minière et Environnement: La difficile conciliation

Par Idriss Linge

Lors du récent forum minier au Cameroun, de nombreuses présentations ont montré à souhait l’importance qui doit être accordée à cette problématique


Une des problématiques importantes du forum minier qui s’est achevé le 31 mai dernier, aura été celui de la conciliation entre développement de l’industrie minière et respects des considérations environnementales. Dans son approche, le gouvernement n’a pas encore défini un cadre clair et unique relatif à la préservation des environnements tant physiques, que socio-économiques. Un des problèmes soulevés aura été celui du chevauchement entre des zones attribuées à des entreprises minières, et celles qui sont protégées pour la conservation. Prenant la parole sur le sujet, le Centre pour l’environnement et le développement (CED), a remis sur la table des discussions, la nécessité de suspendre l’attribution de nouveaux permis en vue de voir clair dans les différentes situations. « L’expérience en matière d’exploitation forestière montre que très souvent, le gouvernement semble négliger ces aspects et après, de gros conflits ne manquent pas de survenir. Pour éviter d’avoir à gérer les même contraintes qui se soldent souvent par des procédures coûteuses et difficiles à gérer pour l’Etat, il est important de bien appréhender la situation de manière étendue avant », a expliqué Samuel Nguiffo, le responsable de cette organisation.



Cameroun : hausse de 27,34 milliards de FCFA des recettes pétrolières

(Investir au Cameroun) - Les recettes pétrolières du Cameroun pour le premier trimestre 2012 ont augmenté de 27,34 milliards de francs Cfa par rapport aux prévisions, du fait du niveau soutenu des cours du pétrole brut sur le marché international. La Société nationale des hydrocarbures (Snh) annonce qu’elle a versé au Trésor public camerounais, au titre de sa contribution au budget 2012 de l’Etat, la somme de 156,03 milliards de FCfa au 30 avril, sur une prévision initiale de 128,69 milliards de FCfa. L’information est contenue dans un communiqué du conseil d’administration de la Snh publié dans la presse le 06 juin 2012.

B-O.D


Grand Nord: Les syndicats de carburant frelaté proposent un pourcentage au gouverneur

Ils demandent à Abakar Ahamat de fermer les yeux sur la pratique de cette activité illicite, contre une «motivation»


Injure
C’est au cours d’une réunion de sensibilisation tenue à Ngaoundéré que les syndicalistes crachent leur proposition sordide. Sans coup férir. C’est le représentant de l’Association des transporteurs du carburant (Atc) qui déclenche les hostilités. « Votre prédécesseur a dit lors de notre dernière réunion que nous allons fermer les yeux et travailler avec la douane. C’est ce que nous avons fait. Puisque, nous dédouanons un fût à 5000 Fcfa. Excellence pourquoi ne pas fermer les yeux ? », lance Talba Oumaté à l’endroit d’Abakar Ahamat. Ce dernier ne s’arrête pas là. « Nous sommes nombreux à vivre des revenus de la vente de ce carburant, qu’allons-nous faire si vous nous l’interdisez ? S’il y a quelque chose à ajouter, nous sommes prêts à ajouter et vous, vous fermez les yeux ça passe », ajoute Talba Oumaté. A ciel ouvert. Abakar Ahamat prend cette proposition pour une injure. « Vous n’allez pas m’insulter en réunion me demandant de fermer les yeux sur la pratique d’une activité illicite » répond-t-il au représentant du syndicat« Si vous étiez dans la magouille avec d’autres personnes, vous ne le ferez pas la magouille avec moi », menace-t-il.


Cameroun : l’Etat veut mettre fin aux subventions du carburant

(Agence Ecofin) - Le gouvernement camerounais, conseillé par la Banque mondiale et le FMI, envisage de mettre en place une politique de subvention du carburant plus ciblée. Ce qui entraînerait une hausse des prix à la pompe, d’après les associations de défense des consommateurs.
Selon le secrétaire général du ministère des Finances, Jean Tchoffo, les coûts des subventions au carburant sont énormes et risquent à l’avenir de plomber l’économie du pays. «L’année dernière, le budget de l’Etat a supporté à hauteur de 321 milliards de FCFA les subventions au carburant. Cette année 2012, compte tenu de la flambée des prix du pétrole sur le marché international, on pourrait dépenser 400 milliards de FCFA», affirme-t-il.


Cameroun : Recours à l’énergie solaire…

Confronté depuis des années à une crise énergétique accrue, le Cameroun semble se tourner vers les énergies renouvelables avec l’aide de certains partenaires, pour solutionner le problème. En effet l’agence d’exécution de la coopération allemande au Cameroun, vient de signer un partenariat avec une filiale du Groupe Total, Total Access To Solar (TATS), dans le but de faciliter l’accès aux énergies solaires à une grande majorité de camerounais. L’enjeu aujourd’hui ne se résume plus qu’aux populations reculées mais également à plusieurs petites et moyennes entreprises qui se retrouvent asphyxiées par le coût très élevé de la consommation électrique.


14.6.12

Cameroun : bientôt la première pierre du barrage de Memve’ele

(Agence Ecofin) - La cérémonie de la pose de la première pierre du barrage de Memve’ele « doit être un événement d’importance première, couronnée d’une éclatante réussite » a déclaré Joseph Le au journal Cameroon Tribune.

Le directeur adjoint du cabinet civil de la présidence de la République, a effectué une descente sur le site du projet vendredi dernier, 8 juin 2012, à Nyabisan, en compagnie de plusieurs ministres, dont celui de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, des Travaux publics, Patrice Amba Salla et de la Communication, Issa Tchiroma Bakary. Ils y étaient pour vérifier que toutes les dispositions sont prises pour l’événement. Le quotidien gouvernemental affirme qu’un héliport pouvant accueillir deux hélicoptères a été construit et que le site, hier envahi par les herbes, a désormais fière allure. Signe que c’est le chef de l’Etat ou le Premier ministre qui pourrait procéder au lancement des travaux.


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L’exploitation de Mobilong démarre en juillet 2012

(Investir au Cameroun) - L’annonce a été faite mercredi par Oh Deuk Gyun, patron de Cameroon and Korea Mining (C&K Mining). Il était à la tête d’une délégation d’actionnaires de l’entreprise en visite sur le site, une délégation qui a échangé avec Eloi Gabriel Essoa, préfet du département de la Boumba et Ngoko.


Exploitation du fer : Sundance parle de ses divergences avec l’Etat


(Investir au Cameroun) - Le forum minier s’est achevé au Cameroun la semaine dernière. Une occasion pour les acteurs du secteur de venir présenter leurs projets ou encore de saisir de nouvelles opportunités d’affaires. Parmi eux, David Meehan, le directeur des opérations de l’entreprise Sundance Ressources qui va exploiter le fer de Mbalam.

Après le forum il a accepté d’expliquer au Journal du Cameroun les divergences qu’il rencontre avec le gouvernement camerounais pour le début de l’exploitation du fer. De prime abord, tient-il a rappeler, «le fait qu’il y ait des divergences ne nous pose pas de problème. C’est d’ailleurs normal, cela rentre dans la nature des hommes». Parmi ces problèmes, il évoque le projet de chemin de fer.

Le plan ferroviaire national élaboré par le gouvernement intègre en fait un linéaire qui servira au transport du fer du lieu de l’exploitation jusqu’aux côtes camerounaises, mais aussi et surtout le transport des personnes et des biens.

«Pour ce qui est du chemin de fer, je reconnais que c’est un des points critiques de nos discussions avec le gouvernement camerounais. Ce que je dois dire c’est que nous comprenons très bien les objectifs et la volonté du gouvernement de ce pays. D’un autre côté, il n’existe pas ce type de chemin de fer en Afrique centrale et donc tout le monde ne comprend pas de quoi on parle», affirme David Meehan. Il précise que pour Sundance Ressources, le chemin de fer ne doit pas être mis en place pour le transport des civils, mais du fer.