25.7.13

Une convention relative à la construction d’un complexe sidérurgique signée avec une entreprise sud-coréenne

Une convention relative à la construction d’un complexe sidérurgique signée avec une entreprise sud-coréenne
jeudi, 25 juillet 2013 04:40
Le secrétaire d’Etat auprès du ministre camerounais de l’Industrie, des Mines et du Développement technologique (Minimidt), Fuh Calistus Gentry, a procédé mardi, 23 juillet 2013, à la signature d’une convention relative à la construction d’un complexe sidérurgique dans la zone de Kribi avec le géant de la sidérurgie sud-coréen Posco, représenté par son Pdg, Goon Yana Chulz.
Le coût estimatif du projet est de 275 milliards de FCFA et la production annuelle de fer est évaluée à 100 000 tonnes.
Selon Mutations de mercredi, 24 juillet 2013, le projet se décline en deux phases. La première se propose de produire 500 000 tonnes de billettes et de fer en béton, tandis que la deuxième en produira un million.
L’Etat du Cameroun, principal intervenant dans le projet devrait contribuer à hauteur de 30% dans le capital de cette entreprise, 20% pour Posco, 20% également pour la Société financière internationale (SFI), 10% pour les privés camerounais et 10% pour les autres partenaires.

Lire l'article original


24.7.13

Agreement with China's JXTC Anticipating a Strategic Investment in the Nkamouna Project

Published : July 23, 2013

DENVER, COLORADO--(Marketwired - July 23, 2013) - Geovic Mining Corp. ("Geovic" or "the Company") (News - Market indicators)(OTCBB:GVCM), on behalf of its 60.5%-owned subsidiary Geovic Cameroon Plc ("Geovic Cameroon"), is pleased to announce that it has agreed to the terms and conditions of a Definitive Agreement ("DA") with Jiangxi Rare Metals Tungsten Holdings Group Company Ltd ("JXTC") of Nanchang, Jiangxi Province, China. JXTC is a state owned large scale industrial enterprise with significant mining and industrial operations in cobalt, copper, tungsten, and other rare metals. The terms and conditions of the DA were agreed amongst JXTC, Societe National d'Investissement du Cameroun (SNI), the National Investment Corporation of Cameroon that owns or represents 39.5% of Geovic Cameroon, Geovic, Geovic Ltd and Geovic Cameroon. Geovic Cameroon plans to develop the Nkamouna cobalt-nickel-manganese Project (the "Project") in Cameroon, Africa. The DA anticipates the completion of a strategic investment by JXTC in the Project.
The transaction contemplated by the DA establishes JXTC's intent to acquire 60.5% of the existing shares of Geovic Cameroon pursuant to the execution of a Share Purchase Agreement between JXTC and Geovic. In addition to acquiring 60.5% interest in Geovic Cameroon, JXTC would also secure 100% of the mixed cobalt-nickel sulphide product (MSP) to be produced by the Project through a Long-Term arm's length Off-Take Agreement with Geovic Cameroon.
Geovic CEO Michael Mason said "This Definitive Agreement represents significant progress advancing the Nkamouna Project toward construction and into production. Construction could commence as soon as the project financing is arranged, bringing much needed jobs and economic diversity and development to Cameroon." Mason added; "The biggest winners here are Geovic Cameroon, a Cameroon corporation, and the people of Cameroon, who shall experience Cameroon's first major mining project transitioning from a vision to reality."

Geovic Mining Background
Geovic is a U.S.-based corporation whose principal asset is 60.5% indirect ownership of a significant cobalt-nickel-manganese deposit in the Republic of Cameroon, Africa. Additional Company initiatives and project information may be found on the websites www.sedar.com, and www.sec.gov. For more information, please go to www.geovic.net.

On behalf of the Board
Michael T. Mason, CEO





23.7.13

Mines et Infrastructures : Les États-Unis veulent investir au Cameroun

Le secrétaire général de la présidence de la République camerounaise, Ferdinang Ngoh Ngoh, a reçu en audience mardi, 2 juillet 2013, l'ancien secrétaire d'Etat adjoint américain, John Negroponte pour parler essentiellement affaires.

John Negroponte

M. Negroponte © DR

Concrètement, les Américains sont intéressés par le développement des infrastructures et surtout du secteur minier qui, selon John Negroponte, « gagnerait à être davantage exploité au service du développement du pays et du bien-être des populations ».
Seulement, aucun détail n'a été donné sur les infrastructures à développer, ainsi que les projets miniers à explorer.
Nommé secrétaire d'Etat adjoint en 2007 par le président George W. Bush, John Negroponte, a été ambassadeur des Etats-Unis à l'Onu, en Irak, au Mexique, au Honduras et au Nicaragua.
Selon le quotidien gouvernemental, Cameroon Tribune, il est venu au Cameroun avec plusieurs hommes d'affaires américains.
Source : Agence Ecofin


22.7.13

EXPLOITATION DU FER DE MBALAM : POURQUOI NE PAS DEMANDER AUX CHINOIS DE FINANCER EUX-MEMES LES 1500 KILOMETRES DE CHEMIN DE FER ?


La LC dévoile la guerre que se livrent une société chinoise soutenue par le lobbyiste Jean Jacques Bouya (Hanlong Group) et une autre société australienne (Sundance Resources) au travers de sa filiale Congo Iron pour l'exploitation du fer du gisement Mbalam à cheval entre le Congo et le Cameroun. Vous savez, je ne suis pas fan des Chinois qui ont mis en place une véritable colonisation de l'Afrique par le biais de l'économie. Ma constance parle pour moi mais dans le dossier que vous allez découvrir, les Chinois proposent la construction d'un chemin de fer de 1500 kilomètres pour évacuer le fer de Mbalam par le port autonome de Pointe-Noire - ce qui permettrait un meilleur contrôle des minérais de fer qui sortent du pays car si cela se faisait par le Cameroun comme c'est le cas en partie pour le bois, le pouvoir en profiterait pour minorer les chiffres.
Le projet chinois est jugé trop coûteux par Pierre Oba, le ministre des mines. Nous estimons que l'affaire peut être résolue autrement si on demandait aux Chinois de financer et de construire eux-mêmes le chemin de fer en imposant l'embauche de la main d'oeuvre locale ; ce qui créerait de nombreux emplois et permettrait la mise en valeur d'une grande partie du nord du pays car il serait possible d'installer des gares tout le long de la voie ferrée (ce qui provoquerait un regroupement de populations), d'évacuer autre chose que le fer, soulageant ainsi notre vieille voie ferrée CFCO qui daterait de 1910. Quand cessera l'exploitation du fer, il nous restera au moins le chemin de fer comme dans le cas de la Comilog pour le manganèse. S'il nous prenne notre fer, qu'il nous laisse au moins le chemin de fer à défaut de leur imposer de transformer le fer sur place - ce qu'un chef d'Etat désireux de diminuer le chômage dans son pays n'hésiterait pas de mettre sur la balance.
Cette voie ferrée pourrait aussi être un véritable atout touristique : en effet, le nord du pays possède un tel potentiel dans ce domaine qu'une voie ferrée pourrait faciliter l'affluence des touristes étrangers...
Au lieu de se précipiter sur des solutions de facilité, il vaut mieux prendre celle qui permet au Congo de gagner un peu plus car les Chinois n'auront aucun mal à rentabiliser cette affaire, vu la grosse demande de fer en Chine et dans le monde : le fer est très demandé dans la construction et dans l'industrie, deux domaines en forte croissance en Chine.
Doit-on comprendre que le clan Sassou & Nguesso, en décidant de créer une société de gestion des parts congolaises à l'instar de la SNPC, serait pressé d'empocher le fric au lieu de penser d'abord à l'intérêt de la nation ? Il faut donc pousser Congo Iron à accepter l'OPA du groupe chinois Hanlong Group en posant des conditions. Les Chinois sont assez riches pour y consentir sinon pourquoi auraient-il proposé la construction d'une voie ferrée ?
De toute façon, pour atteindre le port de Kribi au Cameroun, port situé à 500 kilomètres, il faudra bien construire une voie ferrée et Sassou préfèrerait que ce soient les Camerounais qui en bénéficient alors que le fer est exploité au Congo ? N'oublions pas que l'Etat camerounais nous fera payer des droits de passage comme le faisait l'Etat gabonais à l'époque de l'exploitation du manganèse écoulé via leur chemin de fer jusqu'à l'océan atlantique.
Que se serait-il passé si les colons français n'avaient pas eu l'idée de construire un chemin de fer afin d'évacuer les ressources de leur pillage colonial vers l'océan ? Eh bien, le Congo n'aurait même pas un chemin de fer. Alors, si on peut avoir un deuxième qui soulagerait le premier. De plus, sans débourser le moindre rond...


Lire la suite (original)

Despite looming glut, big iron ore miners go for volume

Underscoring their faith in Chinese iron ore demand, the world’s biggest miners of the metal are reporting record output.

Author: James Regan (Reuters)
Posted: Wednesday , 17 Jul 2013
SYDNEY (Reuters)  -

Record iron ore output from BHP Billiton and other mining giants appears to defy logic, with demand for the steel-making raw material cooling in top customer China and a price-eroding supply glut looming.
But the sector's heavy guns are digging more for less to tighten their stranglehold on the world's second-biggest commodity market, as competitors struggle.
In mining parlance, this is known as a "rebalancing" strategy, designed to improve the operating margins of the majors to such an extent that smaller competitors or new projects may be all but squeezed out.
"The majors want to maximise those economies of scale," said MineLife sector analyst Gavin Wendt. "As long as they keep margins well ahead of a declining iron ore price, they are winning."
BHP Billiton, Rio Tinto and Fortescue Metals Group, with their iron ore operations in Australia, and Brazil's Vale are leading the charge.
Seaborne-traded iron ore prices, which have lost 10 percent so far this year, are forecast to hit their lowest in four years by the end of 2013 as these big miners dig deeper and faster.
At the same time, forecasters are warning slowing industrial activity in China will result in weaker overall demand for ore.
But Rio Tinto and BHP are among the most efficient iron ore producers in the world. At current prices of around $130 a tonne, each enjoys a margin of around $80 per tonne.
AHEAD OF SCHEDULE
BHP on Wednesday said expansion of its iron ore division was running ahead of schedule after posting a robust 9 percent rise in ore output to a record 187 million tonnes in the 12 months to June 30. By December it aims to be operating at a 220-million-tonnes-a-year rate.
BHP under the former chief executive, Marius Kloppers, stuck to a policy of mining at maximum rates as long as profits held up.
New BHP Chief Executive Andrew Mackenzie is showing no signs of changing tack.
It was Kloppers who in 2010 almost single-handedly broke the half-century old annual iron ore price-fixing mechanism and replaced it with spot indexing in order to weed out weaker producers.
Steel mills across Asia and Europe initially resisted the switch but were eventually forced to accept the new terms.
Rio Tinto on Tuesday pointed to moves to lift its iron ore production capability by 35 percent to 360 million tonnes in 2015, estimated by analysts to carry a $5 billion price tag.
The firm has already started port and railway work and is debating whether to dig new mines altogether or simply expand its existing ones.
Vale, the world's biggest iron ore miner, this month was cleared by Brazil's Environmental Protection Agency to undertake a $19.5 billion expansion of its Carajas iron ore mine, one of the world's richest and most productive.
Fortescue has awarded contractor Leighton Holdings A$2.8 billion in work to expand its mines in Australia by a further 60 million tonnes per year.
Such commitment to rapid expansion shows global miners see the risks to rebalancing as manageable.
Spot iron ore prices this week edged up to two-month highs, backed by Chinese steel mills replenishing inventories, although the pace of restocking may have slowed, suggesting a two-week rally may soon end.
Indicating how shipments are holding up, iron ore exports to China from Australia's Port Hedland alone, which handles about a fifth of the global trade, were up 43 percent in June from a year ago.
Other major export terminals, from Australia to South America, are recording record tonnages.
The Australians count almost solely on China for revenue from iron ore. Vale's ore feeds steel mills in China and also Europe.
BLEAK FUTURE FOR SOME
The strategy of all-out expansion portends a bleak future for projects in early stages of development.
These include the $10 billion South Korean steel group Posco -backed Roy Hill mine in Australia and Sundance Resources Ltd's $4 billion Mbalam project in Cameroon and Republic of Congo.
A small army of smaller projects peppering Australia's iron ore rich Pilbara and mid western iron belts and the Brazilian interior are also at risk.
Some big miners are also rethinking their strategy. Glencore Xstrata Plc is halting production of iron ore in Australia next month, citing deteriorating market conditions and ending a two-year experiment to gain a toehold in the sector.





Minor miners face major headache from iron ore giants


In Australia alone, a half a dozen or more projects pegged by prospectors in better times sit stranded in the outback with no timetable for development.

Author: James Regan (Reuters)
Posted: Monday , 22 Jul 2013  
SYDNEY (Reuters) -

From Africa to Australia, opportunities to develop small iron mines are fast disappearing, as cash dries up and miners are unable to compete with the crushingly low production costs of the sector's heavyweights.
In Australia alone, a half a dozen or more projects pegged by prospectors in better times sit stranded in the outback with no timetable for development.
Most are running short on money and have stripped payrolls and equipment spending to a bare minimum, awaiting a turnaround that forecasters predict is a long way off at best.
Companies such as Aquila Resources Ltd, Flinders Mines Ltd and Iron Road Ltd, which a year ago were leading a wave of new investment in iron ore, have had their stocks gutted as investors turned cold on their prospects.
"This is not the time to be developing a new iron ore mine, the big boys are making sure of that," said Keith Goode, an analyst for Eagle Mining Research.
Global miners Vale, BHP Billiton and Rio Tinto are increasing their supply dominance in the world's second-biggest shipped commodity market after oil.
The three already control some 70 percent of seaborne trade and are spending billions of dollars on new mines to capture an even bigger share, just as the price outlook for the steel-making raw material deteriorates and a supply glut looms.
Iron ore prices are forecast to reach a four-year low in 2013, according to a Reuters poll. In a few years, some analysts see prices under $100 a tonne.
The majors are cornering the market with costs of $30-$50 a tonne, compared with estimates of up to $100 for new entrants.
Add to that, expenses around rail lines that can stretch hundreds of kilometers across deserts or through jungles, limited port allocations and lower grade ores and it's little surprise new entrants are struggling.
Fortescue Metals Group, Australia third-biggest iron ore miner, has told prospector Brockman Mining Ltd it could charge the company up to $576 million a year just to access part of its Australian rail line.
Another upstart, Aquila Resources, had no option other than to put its West Pilbara Iron Ore project in Australia on ice this year. It would have required billions to be spent on rail and ports, stretching funding too far.
Japan's Mitsubishi Corp has opted to suspend work on a port and rail line in Australia that promised to establish a new iron ore export hub, 1,200 km (750 miles) from rail lines controlled by BHP, Rio Tinto and Fortescue, further diminishing the hopes of aspirants.
NO DAYLIGHT
In West Africa, valuations for a number of iron ore companies have fallen so low to suggest the market no longer believes these projects will see daylight, according to Hunter Hillcoat, an analyst at Investec.
"The view that the market is not ascribing value to these companies on the basis that their projects won't get developed has been really reinforced in the past few months," he said.
Zanaga, partnered with Glencore Xstrata on its project in Republic of Congo, has a market cap of $47 million compared to around $38 million in cash reserves.
The firm's stock has lost about 60 percent this year, while Guinea-focused miner Bellzone has had around 70 percent wiped off its market cap.
Bellzone was forced to sell its bulk-carrying ship after a cut in its iron ore production forecasts at its Forecariah mine meant the vessel was no longer needed.
Another Africa iron ore developer, Australian-listed Sundance Resources Ltd, has been unable to attract partners to back its Mbalam-Nabeba iron ore mine straddling Cameroon and the Republic of Congo.
Shares in Sundance have lost about three quarters this year because its planned partner, China's Hanlong Group, failed to secure backing for $4 billion in development financing.
The plight of the juniors has not led to much consolidation either.
One of the few exceptions has been IMIC, which recently made an agreed bid for Afferro , which owns 100 percent of the Nkout iron ore deposit in Cameroon.
That deal was unique because IMIC had already sealed a partnership with China to build transport links so the raw material can be exported.
LITTLE ROOM FOR UPSTARTS
Volatile trade in iron ore has seen prices range between $110-$160 a tonne this year, joining a wide range of commodities hit by excess supply and slowing demand from China.
Oversupply of seaborne iron ore will be about 155 million tonnes next year, according to analysts at UBS.
Almost all the new supply is coming from the big miners.
UBS, Goldman Sachs and other banks warn prices could dip as low as $80 a tonne versus today's price of $130 .
Access to funds, particularly equity funding, has also dried up, further stretching developers.
"There is little appetite for debt funding for most of these projects and capital markets are closed too," which doesn't leave much choice," said Paul Adams, an analyst for DJ Carmichael, which specialises in small mining companies.
Even an iron ore project being developed by Gina Rinehart, Australia's richest person, to mine 55 million tonnes a year is taking longer-than expected to fund.
After years in pre-development, her Roy Hill project is just now overcoming key hurdles holding up debt negotiations, sources familiar with the talks told Reuters.
However, if it starts producing by 2015 the project aiming to become Australia's fourth-largest iron ore producer will make it even harder for smaller rivals.
The iron ore market in Australia has been sliced in three by Rio Tinto, BHP and Fortescue mining an additional 100 million tonnes next year, equivalent to a fifth of China's imports.
Vale, the world's biggest producing company, is spending $19 billion to expand its footprint by nearly a third in its home country of Brazil.
The strategy relies on improving economies of scale to lower the cost of producing each tonne of ore to levels smaller players find it impossible to match.
That leaves little room for upstarts elsewhere in the world.
"The Rio's and BHP's are cushioned through every stage of the cycle, high and low," said Carmichael's Adams. "Unless, you are cycle-proof, it is going to be a very tough road."





Le Cameroun abat ses dernières cartes pour l’examen d’entrée à l’ITIE

Le Cameroun abat ses dernières cartes pour l’examen d’entrée à l’ITIE
mardi, 16 juillet 2013 04:00

Hugues Renaux, représentant du cabinet CAC 75, chargé de la validation du processus de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) au Cameroun, a restitué vendredi 12 juillet 2013, à Yaoundé, le diagnostic sur la mise en œuvre de l’ITIE au Cameroun, une étape importante dans le processus de validation du rapport à soumettre le 13 août prochain au Conseil d’administration de l’ITIE.
D’après le représentant du cabinet CAC 75, le Cameroun a beaucoup avancé. « On est à 90% du chemin, mais on n’y est pas », confie Hugues Renaux, cité par Cameroon Tribune, de lundi 15 juillet 2013.
On retient que le Cameroun est déjà conforme sur certaines exigences. Il s’agit, entre autres, de l’implication de la société civile mesurée au nombre de sièges à elle accordé au sein du comité, soit 16 au lieu de 10, le recensement et la publication des données par des auditeurs.
Le rapport provisoire sera présenté au conseil d’administration de l’ITIE le 26 juillet 2013. Pour rappel, si le dossier est encore rejeté au conseil du 13 août prochain, le Cameroun sera simplement exclu de cette Initiative.


Lire l'article original

La Cémac prépare une académie minière pour aider les Etats à mieux négocier les contrats

La Cémac prépare une académie minière pour aider les Etats à mieux négocier les contrats
mercredi, 17 juillet 2013 09:34
La Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale (Cemac) vient de s’engager à mettre sur pied une académie minière, pour former les ressortissants de la sous-région à l’administration minière et à la gouvernance.
D’après le directeur de l’Ecole de géologie et d’exploitation minière de Meiganga, c’est la mauvaise négociation des contrats miniers en Afrique qui justifie prioritairement la création de cette académie. « Généralement, quand on parle de formation dans le domaine de la mine, on ne voit que les ingénieurs, pourtant, il y a d’autres spécialistes dans de domaines différents qui s’occupent des choses toutes aussi pointues comme la négociation des contrats, l’administration des compagnies, le droit minier », explique Ismaël Gounono, cité par le quotidien Mutations de mardi, 16 juillet 2013.
L’idée de mise sur pied de cette académie fait surface au moment où l’opportunité de l’attribution de l’exploitation des ressources minières aux multinationales au détriment des Etats fait l’objet de discussions, parfois de disputes au sein de la Cemac.


Lire l'article original


12.7.13

Emmanuel Bondé : déjà 32 843 grammes d’or canalisés pour la promotion de l’artisanat minier

Emmanuel Bondé : déjà 32 843 grammes d’or canalisés pour la promotion de l’artisanat minier
vendredi, 12 juillet 2013 07:04
Le ministre camerounais des Mines, de l’industrie et du Développement technologique (Minimidt), Emmanuel Bondé, révèle que le Comité de pilotage du cadre d’appui à la promotion de l’artisanat minier (Capam) a canalisé 32 843 grammes d’or au cours du premier semestre 2013, pour une valeur de 549 198 451 FCFA, somme reversée aux artisans miniers.
Cet or fera l’objet d’un « revolving » par appel d’offres, « sous réserve du droit de péremption d’achat à exercer par le ministère des Finances pour le compte de l’Etat », souligne le Minimidt, selon une interview accordée à Cameroon Tribune de jeudi, 11 juillet 2013.
Selon Emmanuel Bondé, la taxe Ad valorem, une taxe proportionnelle à la valeur des produits extraits, payée par le Capam, représente selon le Code minier 3% de ce montant dont « 50% ont été versés au trésor public, 15% aux communes concernées, 10% aux populations riveraines et 25% au service du suivi et de contrôle ».
On retient aussi que la canalisation de l’or dans les circuits formels de l’économie est une opération qui a pour but la lutte contre la pauvreté des artisans miniers et le versement dans les caisses de l’Etat des recettes issues de cette activité. En 2012, apprend le Minimidt, près de 37 kg d’or fusionnés d’une valeur de près d’un milliard de FCFA ont été rétrocédés par le Capam au ministère camerounais des Finances.


Lire l'article original

11.7.13

Sundance Initiates Development Process for Mbalam-Nabeba Project

Tuesday , 02 Jul 2013 Sundance Resources Limited

Sundance Resources Limited (“Sundance” or “the Company”) (ASX: SDL) is pleased to advise that it is taking the next steps in the process to develop its Mbalam-Nabeba Iron Ore Project in Central Africa. 

Sundance has now identified a number of potential interested parties and possible structures for the commercialisation of the Mbalam-Nabeba Iron Ore Project following constructive meetings with a number of interested parties, both Chinese and non-Chinese, over the course of the past few months. 
Sundance CEO and Managing Director Giulio Casello said that following approval from the Sundance Board of Directors on the business strategy, Sundance is moving forward with a clear plan in place.
“We have spent the last few weeks in discussions with potential interested parties, including Steel Mills, iron ore traders and infrastructure providers, in order to test a range of commercial solutions and to determine which would provide the best outcomes in the current market. 
“We have not only received encouraging support for these proposed structures out of China, but also from non-Chinese companies, all of whom believe Mbalam-Nabeba is one of the few and best development-ready iron ore greenfield projects currently on the market.  We are now moving to building this project.” Mr Casello said.
As outlined in the African Mining Investment Conference presentation released to the ASX on 25 June 2013, specific commercial structures which could form the basis for funding the development of the Project have been identified.  These include a joint venture for both the mines and transport infrastructure, as well as a separate joint venture for the mine and an independent infrastructure solution. 
Sundance plans to run two concurrent processes - one at the mine level for a joint venture and/or secured take or pay iron ore offtake contracts - and another for the development of the deep water port and rail infrastructure through EPC contracts or an independent infrastructure consortium.  To support this process, in the coming month Sundance will commence a process to elicit responses in these two areas.
Steel Mills, Traders and other iron ore users will be requested to confirm their interest in and provide commercial terms regarding:
  • Purchased equity at the mine level
  • Purchased equity at the project level (i.e. mine joint venture and infrastructure)
  • Secured take or pay iron ore offtake contracts
Concurrently, Sundance will also commence a tender process for EPC and independent rail and port infrastructure, under which tender participants may respond along the following lines:
  • EPC price for integrated port and rail (with finance and potential equity)
  • Independent infrastructure solution (with take or pay tariff pricing for use of independent infrastructure) 
“By the end of 2013, we aim to have agreements in place for the full production capacity of 35 million tonnes per annum and be in final negotiations for building the infrastructure with EPC contractors,” Mr Casello said. 
Mbalam-Nabeba has total JORC-Code compliant global High Grade Hematite Resources of 775.4Mt at 57.2% Fe, of that 748.0Mt are classified as Indicated.  These Mineral Resources are inclusive of Reserves currently standing at 436.3Mt at 62.6% Fe.  The Project also boasts a further 4.05Bt of Itabirite Hematite Resources at 36.3% Fe, with 1.43 Bt at 38% Fe classified as Indicated.  The Definitive Feasibility Study for stage one was completed in April 2011 and all environmental approvals are now awarded, including the Declaration of Land for Public Utility for the Rail infrastructure in Cameroon. 
The Mbalam Convention was signed in November 2012 and the Congo Mining Permit was granted in February 2013.  It is expected construction could commence on the rail and port immediately pending the confirmation of funding.  At $21.20 per tonne, the Mbalam-Nabeba Project Stage One cash only costs (as per the April 2011 Definitive Feasibility Study) would make the Mbalam-Nabeba Iron Ore Project one of the lowest-cost, high-grade iron ore projects in the world.



Sundance lays down bidding gauntlet to flush out partners

The beleaguered iron ore explorer, impatient with the lack of firm offers for its massive Mbalam iron ore mine plans to run concurrent bidding processes in a bid to flush out partners
Author: Alex Williams
Posted: Wednesday , 03 Jul 2013

LONDON (Mineweb) - 

Sundance Resources has issued what looks to be a 'put-up or shut-up' notice to potential partners on its Mbalam-Nabeba project in west-central Africa, promising to settle months of uncertainty surrounding the project's development.
The company said on Tuesday that it will run concurrent bidding processes for equity interest at the mine and project level, as well as for take-or-pay off-take agreements, in an effort to flush out partners. “Steel mills, traders and other iron ore users will be requested to confirm their interest,” the company said, “and provide commercial terms."
Sundance has endured months of controversy-laden negotiations over the project's future in the wake of a collapsed takeover offer by China's privately-owned Hanlong Group. In April the deal fell through after Hanlong's chairman disappeared during the Mines & Money Conference held in Hong Kong. It was reported that he had been detained by Chinese police on charges of harbouring his brother, who is accused of triple-homicide.


Read the original article

3.7.13

Sundance repousse encore le délai de signature pour le développement de Mbalam-Nebeba

mardi, 02 juillet 2013 11:23 
Sundance repousse encore le délai de signature pour le développement de Mbalam-Nebeba 

La junior minière australienne Sundance Resources vient de repousser de quelques mois le délai de la signature d’un accord de partenariat portant  sur le développement du projet de fer de Mbalam-Nabeba, commun au Congo et au Cameroun. Après avoir annoncé en mai dernier que le nom de son futur partenaire sera connu en septembre prochain, la compagnie a indiqué, dans une note publiée le 1er juillet,  qu’elle espère conclure cet accord de partenariat avant fin 2013. «Notre objectif est de parvenir à signer un accord sur l’exploitation du gisement  portant sur une pleine capacité de production de 35 millions de tonnes  par an avant la fin 2013», a déclaré le directeur général de Sundance, Giulio Casello.
M. Casello a également  souligné que sa compagnie a «identifié un certain nombre de parties potentiellement intéressées», y compris des groupes chinois. « Nous avons eu ces dernières semaines des discussions avec plusieurs groupes très intéressés, dont des sociétés spécialisées dans la production de l’acier, des négociants des matières premières et des groupes de construction», a-t-il précisé.
Sundance a, par ailleurs, fait savoir que le coût  de production sur le gisement de Mabalam Nabeba est de l’ordre de 21.20 dollar par  tonne, ce qui en fait «l’un des plus faibles coûts parmi les projets de minerai de fer de haute qualité dans le monde».
Sundance Resources  avait annoncé, le 26 juin, qu’elle poursuit désormais une nouvelle stratégie basée sur la séparation entre le développement de la mine et la construction d’infrastructures ferroviaires et portuaires. «Il n’y a pas assez de prétendants favorables à un partenariat qui englobe la totalité des composantes du projet alors qu’il existe un nombre important de partenaires potentiels intéressés par la séparation entre le développement de la mine  et la construction d’infrastructures», a déclaré le directeur général de Sundance.
Le groupe australien avait  résilié, début avril dernier, son accord avec le groupe chinois défaillant Hanlong Mining pour la reprise du projet de Mbalam.


Lire l'article original




Cameroun : le FMI satisfait, mais insistant sur la réduction des subventions aux produits pétroliers

mercredi, 03 juillet 2013 03:31
Cameroun : le FMI satisfait, mais insistant sur la réduction des subventions aux produits pétroliers


Le 26 juin 2013, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a conclu les consultations de 2013 au titre de l’article IV avec le Cameroun. Dans la note d’information au public publiée hier, 1er juillet 2013 sur son site Web, le FMI ressuscite le débat sur les subventions du carburant. D’après les administrateurs du Fonds, les subventions aux produits pétroliers représentent un risque pour la viabilité des finances publiques. « Elles exercent un effet d’éviction sur les dépenses de développement et contribuent à générer un encours d’obligations de paiement », souligne la note d’information.
Par conséquent, le Fmi engage les autorités à maîtriser le déficit de 2013 et à reconstituer progressivement une marge de manœuvre budgétaire. Il invite surtout les autorités camerounaises à réduire progressivement les subventions aux produits pétroliers, à apurer les obligations de paiement exigibles et à mettre en place des programmes compensatoires pour répondre aux besoins des secteurs les plus déshérités. En outre, le Fmi estime qu’il est nécessaire de réduire les exonérations fiscales et de renforcer la mobilisation des recettes.
Par ailleurs, tout en saluant le concept de budget programme du Cameroun, les administrateurs du Fmi encouragent les autorités à consolider les réformes dans la gestion des finances publiques, notamment en ce qui a trait à la passation de marchés, et à renforcer l’exécution et la maîtrise des dépenses. « Le Cameroun présente un faible risque de surendettement », notent-ils.
Le Fmi salue également la reprise de l’activité « dans un environnement de faible inflation », mais note que l’économie camerounaise reste aux prises avec des vulnérabilités et des contraintes qui pèsent sur une croissance tirée par le secteur privé. Dans ce sens, il encourage les autorités à redoubler d’efforts sur le front des réformes budgétaires, financières et structurelles nécessaires pour atteindre le potentiel de croissance du Cameroun.
Globalement, selon le FMI, on retient que la reprise économique s'est affermie en 2012 et la croissance a atteint 4,4 % (contre 4,2 % en 2011), traduisant une augmentation en valeur des exportations de pétrole. L'inflation moyenne est descendue 2,4 % (contre 2,9 % 2011), grâce à la stabilité des prix des denrées alimentaires. Le déficit extérieur courant (dons compris) s'est creusé pour atteindre 3,7 % du produit intérieur brut (PIB) en 2012, contre 2,9 % du PIB en 2011, à la suite d'une diminution du revenu net due à une augmentation des bénéfices rapatriés par les filiales locales de sociétés internationales.
Conformément aux dispositions de l'article IV de ses statuts, le FMI procède, habituellement chaque année, à des consultations bilatérales avec ses membres. Une mission des services du FMI se rend dans le pays, recueille des données économiques et financières, et s'entretient avec les responsables nationaux de l'évolution et des politiques économiques du pays. De retour au siège, les membres de la mission rédigent un rapport qui sert de cadre aux délibérations du Conseil d'administration. À l'issue de ces délibérations, le Directeur général, en qualité de Président du Conseil d'administration, résume les opinions des administrateurs, et ce résumé est communiqué aux autorités du pays. La mission au Cameroun s’est déroulée en mai dernier.

Hervé B. Endong


Lire l'article original

1.7.13

Sundance opte pour une séparation entre les mines Mbalam-Nebeba et la construction d’infrastructures

Sundance opte pour une séparation entre les mines Mbalam-Nebeba et la construction d’infrastructures

mercredi, 26 juin 2013 13:02

(Agence Ecofin) - La junior minière australienne Sundance Resources qui est encore à la recherche d’un partenaire dans l’exploitation du projet de fer de Mbalam-Nabeba poursuit désormais une nouvelle stratégie basée sur la séparation entre le développement de la mine et la construction d’infrastructures ferroviaires et portuaires, rapporte Business Spectator » le 26 juin. «Il n’y a pas assez de prétendants favorables à un partenariat qui englobe la totalité des composantes du projet alors qu’il existe un nombre important de partenaires potentiels intéressés par la séparation entre le développement de la mine  et la construction d’infrastructures»,  a déclaré le directeur général de Sundance, Giulio Casello.
Sundance  Resources a annoncé, le 28 mai, que de nombreux groupes ayant des intérêts variés l’ont approché pour développer le projet de la mine  fer de Mbalam-Nabeba, situé  à cheval entre le Cameroun et le Congo. « Ces groupes proviennent de plusieurs pays  et ils ont des intérêts variés relatifs aux ressources du projet, aux infrastructures et à la production de l’acier», a précisé le président de la junior minière australienne, George Jones, dans une lettre adressée aux actionnaires.
Le groupe australien avait  résilié, début avril dernier, son accord avec le groupe chinois défaillant Hanlong  Mining pour la reprise du projet de Mbalam.
Le 29 mai, le directeur des opérations de Sundance Resources Ltd et chef du projet d’exploitation de fer de Mbalam-Nabeba, David Meehan,  a indiqué que sa compagnie va annoncer le nom de son nouveau partenaire pour le développement du projet en septembre 2013. «Nous allons terminer les discussions probablement au mois de juin 2013 et nous aurons une shortlist. Trois mois plus tard, nous saurons qui sera le partenaire final», avait confié M. Meehan à l’agence Ecofin, indiquant que le gouvernement chinois va soutenir un autre partenaire chinois.