Des raisons géopolitiques, mais surtout économiques ont pesé dans la décision des autorités d'Abuja.
Le gouvernement nigérian avait jusqu'au 10 octobre pour faire appel du
jugement de la Cour internationale de justice (CIJ) octroyant la zone
de Bakassi au Cameroun, comme l'y autorise l'article 61 des statuts de
la CIJ. Cette dernière donne effectivement la possibilité aux parties,
dans les affaires qu'elle tranche, de pouvoir introduire un recours de
la décision qui leur est défavorable, si une nouvelle preuve,
déterminante pour l'issue des débats et qui n'a pas été versée lors du
procès, réapparaissait et était soumise dans les six mois, et dans les
dix ans du prononcé de la décision de la Cour.
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