Le Fmi presse de nouveau le gouvernement d’appliquer la vérité des prix à l’international.
Le gouvernement camerounais pourra-t-il continuer à résister aux avenantes et répétitives pressions du Fonds monétaire international (Fmi), en rapport avec le réajustement à la hausse des prix des carburants à la pompe ? Souscrira-t-il à la fin de cette politique de péréquation, au risque d’ouvrir un nouveau front de crise sociale ?En fin février 2008, les émeutes dites de la faim s’étaient déclenchées à la suite d’une décision des autorités d’augmenter le pétrole lampant, le super et le gasoil. Il dût la rapporter dare-dare sous la pression de la rue. Une nouvelle surchauffe est intervenue au début de l’année en cours, à la suite de lamentations de la Caisse de stabilisation des prix des hydrocarbures (Csph), selon laquelle la subvention des carburants devient «difficilement soutenable». Elle aussi fut rapidement enrayée, face à la levée de boucliers des syndicats de transports et d’Ong de défense des consommateurs.
Le gouvernement camerounais pourra-t-il continuer à résister aux avenantes et répétitives pressions du Fonds monétaire international (Fmi), en rapport avec le réajustement à la hausse des prix des carburants à la pompe ? Souscrira-t-il à la fin de cette politique de péréquation, au risque d’ouvrir un nouveau front de crise sociale ?En fin février 2008, les émeutes dites de la faim s’étaient déclenchées à la suite d’une décision des autorités d’augmenter le pétrole lampant, le super et le gasoil. Il dût la rapporter dare-dare sous la pression de la rue. Une nouvelle surchauffe est intervenue au début de l’année en cours, à la suite de lamentations de la Caisse de stabilisation des prix des hydrocarbures (Csph), selon laquelle la subvention des carburants devient «difficilement soutenable». Elle aussi fut rapidement enrayée, face à la levée de boucliers des syndicats de transports et d’Ong de défense des consommateurs.
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